Dans une mandorle, le Christ trône sur la Jérusalem céleste.  Autour de lui, les apôtres, livres à la main, sont prêts à évangéliser le monde.  Sur le linteau, est figuré le monde profane, sous les pieds des apôtres. Dans un premier arc-de-cercle, d'autres peuples sont décidés à se convertir. Enfin, le dernier cercle est le Zodiaque, exprimant entre autres que le Christ gouverne sur la terre mais aussi sur l'ensemble de l'univers.  Chaque signe est précédé d'un médaillon décrivant les occupations du mois correspondant.

Ce zodiaque possède une forte ressemblance avec la représentation de la succession des mois telle qu'elle apparaît dans certains monuments de l' Égypte ancienne comme le temple dédié à Ramsès II nommé le Ramesseum ( discutée dans C. Desroches Noblecourt, 1993; 1997).  Cette comparaison  est abordée dans une partie spéciale sur le zodiaque (voir la barre de navigation).

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Des mains du Christ partent des rayons qui transmettent l'Esprit Saint aux apôtres. L'impassibilité de la figure du Christ contraste avec les spirales qui parcourent son vêtement, par lesquelles le sculpteur veut exprimer la force de la foi qui va se transmettre au monde par les apôtres. Des mains du Christ partent des rayons qui transmettent l'Esprit Saint aux apôtres.

 

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